#MarianGate – « Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la Mariangiacomanie (ou le Trouble Mariangiacomaniaque) »

Le Trouble Mariangiacomaniaque (nom « savant » de la « Mariangiacomanie ») est une affection psychiatrique grave et rarissime, pour la première fois identifiée en France en 2014 dans la région Rhône-Alpes.
En 2017, elle fait des victimes secondaires dans toute la France, mais elle n’a pas encore dépassé les limites de l’hexagone, à part quelques rares cas observés dans d’autres pays ou régions francophones.

Le mode opératoire de cette maladie est le suivant.

  • 1- « Mariangiacomanis virus »
    Un pseudovirus de type mental (le « Mariangiacomanis virus« , de la famille des pseudoviridae mentis) apparaît dans le cerveau d’une personne souffrant d’un grave manque identitaire (comme par exemple dans le cas de la première victime primaire, M. G., de qui le nom du virus est tiré).

  • 2- « Identité Mariangiacomaniaque »
    Ce pseudovirus mental va entraîner des troubles psychiques de type mythomaniaques et mégalomaniaques, qui amènent la victime à se bâtir une identité fictive (appelée « Identité Mariangiacomaniaque »).

  • 3- Personnage autistique « angélique » diamétralement opposé à nature profonde
    Dans le cas de la première victime primaire (M. G.), cette personne très fourbe et manipulatrice s’est inventée un personnage « angélique », de type « autistique », dont l’apparence correspond à ce qui lui manque, et dont elle joue le rôle, diamétralement opposé à sa propre nature (manipulatrice, fourbe etc.).

  • 4- « virus miroirs » et « Foi Mariangiacomaniaque »
    La particularité de ce virus mental est que, pour survivre, il doit se renforcer en permanence par des « virus miroirs » qui sont disséminés dans les esprits de victimes secondaires, dont la « Foi Mariangiacomaniaque », c’est à dire la croyance dans le rôle joué par la victime primaire, confirme, dans l’esprit de celle-ci, la « réalité » de cette construction mentale.

    (On notera ici que la Mariangiacomanie n’est que l’un des « sous-produits » des psychoses sociales, comme celle qui consiste à penser que plus un nombre important de personnes croient quelque chose, plus cette chose est vraisemblable, voire vraie.)

  • 5- Renforcement par le nombre d’affidés
    Evidemment, plus il y a de personnes qui croient à la Mariangiacomanie et plus les « arguments » fondant cette croyance semblent forts, et plus, alors, le pseudovirus mental infectant la victime primaire peut prospérer et se renforcer de chacune des « constructions mentales » constatées (ou supposées) par celle-ci chez les victimes secondaires (ou « croyants » ou « affidés »).

  • 6- Nécessité vitale de croître (« Trouble du Développement Envahissant« )
    La victime primaire ne vit plus que « par et pour » sa propre « réalité virtuelle » ; elle redoute, plus ou moins inconsciemment, de « ne plus exister » si son « système » s’affaiblit ou risque de disparaître, et donc elle va tout faire, sans relâche, pour augmenter la « présence » et la force de sa création mentale, c’est à dire le nombre de « croyants », et la ténacité de leur croyance.

  • 7- Première étape de la création de réalité virtuelle : le blog
    La victime primaire peut commencer par le plus simple : la création de « réalité virtuelle » dans « le monde virtuel » de l’Internet, en créant un blog expliquant d’abord qu’elle est autiste, puis ensuite « expliquant des choses sur l’autisme », ce qui renforce l’idée qu’elle est (ou « doit être ») autiste.

  • 8- Deuxième étape : l’expansion par artifices techniques
    Elle va évidemment faire tout ce qu’elle peut, à la limite du « lavage de cerveau », pour faire penser qu’elle est autiste au public et aux moteurs de recherche (un peu comme quand on voit 200 fois qu’une pomme croquée = un ordinateur, on finit par trouver cela « évident »).
    Elle peut utiliser des techniques simples, comme écrire partout dans son blog : « le blog d’un autiste : le mien » (ce qui est une manière de dire « je suis autiste », mais assez subtilement), ou encore prendre le pseudonyme « autisme » dans les forums, chaque fois que possible.

  • 9- Troisième étape : la culture d’une image sociale sur Facebook
    Ensuite, elle va évidemment se créer une présence sur Facebook, à la fois indispensable et à la fois facile, en cultivant savamment toute une stratégie d’opération « séduction » (qui fonctionne très bien avec la gent féminine), notamment grâce à des vidéos (outil le plus puissant pour cultiver son image et « faire du buzz »), et tous les subterfuges et stratagèmes possibles pour « se faire aimer », avec des « like », des recommandations, etc., toujours en douceur évidemment.
    (Déjà, à ce stade, on se demande bien où est l’autisme, mais baste, les gens sont déjà hypnotisés.)

  • 10- Quatrième étape : la pseudo-militance associative
    Mais il en faut toujours plus, et maintenant la victime primaire va se mettre en tête d’être un acteur associatif défendant les autistes, et surtout, dirigeant une association d’autistes, ce qui est un excellent moyen de tuer dans l’oeuf le doute dans l’esprit des gens, qui tous se disent que si cette personne est responsable d’une association d’autistes, elle est forcément autiste, et que même si ça ne se voit pas, quelqu’un a probablement vérifié.

  • 11- Première tentative d’infiltration, dans l’Alliance Autiste (et premier échec)
    Elle va d’abord essayer avec une petite association naissante et prometteuse (l’Alliance Autiste), en parvenant à semer la zizanie et à discréditer son fondateur en un clin d’oeil, mais sans pour autant parvenir à ses fins, ayant été démasquée au bout d’un mois par celui-ci.
    L’Alliance Autiste est « trop autiste » (pour le pseudovirus) et trop « intraitable » avec l’exigence de sincérité et de respect de la vérité. Immunisée, incorruptible par le pseudovirus.

  • 12- Deuxième tentative d’entrisme, cette fois réussie, dans une autre association d’autistes
    La victime primaire va donc se rabattre sur une autre association (SAtedI), ou, grâce à la gentillesse et à la naïveté de certains autistes, et à toutes ses constructions mentales et virtuelles répandues un peu partout, elle n’aura pas de mal à entrer dans le bureau.

  • 13- Fuites automatiques des victimes secondaires guéries
    Le président finit par deviner la supercherie, et fait tout ce qu’il peut pour garder sa place afin d’éviter qu’elle ne soit prise par l’intrus, jusqu’au moment où il n’en peut plus et où il « fuit au loin », comme toutes les autres victimes secondaires sur lesquels le pseudovirus n’a pas vraiment réussi à prospérer.
    Le trésorier réussit lui aussi à se « désinfecter », et donc, immédiatement, « fuit au loin », comme tous les gens qui détectent la présence de ce pseudovirus, dont ils ont besoin de se protéger.

  • 14- Première grande conquête : la présidence d’une association d’autistes
    De ce fait, la voie est libre, et la victime primaire peut se faire élire président par ce qui reste de victimes secondaires « non encore désinfectées ».

    Bingo ! Tant d’efforts de manigances et de manipulation amènent enfin les résultats escomptés, ce qui est très facile pour un informaticien pervers manipulateur mythomane mégalomane, bref, mariangiacomaniaque, dans le petit monde candide des autistes.

  • 15- Défenses contre quelques tentatives « anti-virus »
    Parfois, certaines personnes détectent ou rappellent la présence du virus, et dans de tels cas la victime primaire, habitée et menée par son pseudovirus, doit tout faire pour protéger celui-ci, en faisant tout ce qu’elle peut pour faire « effacer » les « traces de vérité », par exemple en faisant supprimer des articles dérangeants et en agitant la menace de plainte en diffamation en permanence, ce qui souvent fonctionne. (Un peu comme dans le livre « 1984 » d’Orwell, ou l’Histoire est réécrite).

  • 16- Points faibles du pseudovirus, et « moments de vérité »
    Parfois, avec les détracteurs les plus « obstinés », la victime primaire peut être poussée dans ses retranchements, en allant jusqu’à menacer de mentir ou de « faire mentir » si le détracteur ne publie pas des « démentis » expliquant qu’il s’est trompé, qu’il a raconté n’importe quoi, etc.

    Parfois, lors de ces épisodes d’intenses « combats entre la vérité et le mensonge », le pseudovirus peut voir son effet affaibli au point que la victime primaire n’arrive plus vraiment à jouer son rôle habituel, ce qui laisse quelques « fenêtres d’ouvertures de quelques secondes sur son vrai soi », sur ce qu’elle pense vraiment (et qui, évidemment, est l’exact contraire de ce qu’elle essaie de faire croire pour « masquer sa noirceur ».

    L’un des exemples les plus connus (et prouvés) de cela est quand la victime primaire de la Mariangiacomanie, c’est à dire M. G. lui-même, finit par dire, en privé, sur un ton qui ne peut pas être « du second degré » ni « ironique », que « 90% des autistes sont des glumeux« , ce qui évidemment contraste fortement avec le rôle de « gentil défenseur ou allié des autistes » qu’il joue en permanence, avec une grande maîtrise.
    (Si besoin, écoutez aussi les sources audio (probantes) de ce clip vidéo.)

  • 17- « Groupies Mariangiacomaniaques »
    Ce pseudovirus est très dangereux car il a absolument besoin de se répandre sans limites, pour se sentir exister le plus possible. Il lui faut donc faire le plus de victimes secondaires possibles, c’est à dire de « croyant(e)s » (parfois appelées « groupies » sur Facebook, nom familier donné à ce qu’il conviendrait plutôt d’appeler « Groupies Mariangiacomaniaques »).

  • 18- Renforcement par le statut officialisé par les autorités publiques
    Le pseudovirus mental va donc pousser la victime primaire à entreprendre tout ce qu’elle peut pour renforcer l’image qu’elle veut donner, ce qui va notamment l’amener, grâce à bien des efforts, à se retrouver « expert » dans le Groupe de Pilotage de la Recommandation pour les autistes adultes de la HAS et de l’ANESM, depuis l’été 2015.

  • 19- « Trouble de la Tartufferie Administrative »
    A partir du moment précis de la première réunion du groupe d’experts, va se produire un phénomène étonnant et assez typique de la France (qu’on aurait envie de nommer « le Trouble de la Tartufferie Administrative ». En effet, les experts, d’abord incrédules devant un tel personnage, ne présentant aucun signe visible d’autisme, acceptent, par facilité, « autruchisme », « grégarité » et même lâcheté, de faire semblant de croire au personnage.

    Personne n’y croit dans ce groupe, et notamment la présidente d’Autisme France, Danièle Langloys, ainsi que le révèlent les enregistrements secrets diffusés par AutiLeaks.

    Mais, puisque ça arrange tout le monde (et puisque personne dans ce groupe n’est intéressé par une réelle représentativité et émancipation des autistes), alors tout le monde « considère » qu’il est autiste.

  • 20- Vaines tentatives désespérées de lutte anti-virus dans le contexte de la « HAScarade »
    Tout le monde « joue le jeu » de cette « HAScarade », y compris la direction de la HAS (qui se retranche derrière les failles de ses « règles méthodologiques »), sauf un, le responsable de la première association dupée (l’Alliance Autiste), qui parvient in extremis à rejoindre ce groupe quand il apprend cette infiltration mariangiacomaniaque incroyable et scandaleuse.

    Il essaie d’avertir les autres membres, la HAS, l’ANESM, et d’autres, mais en vain : apparemment la plupart de ces gens ne sont pas dérangés par la tromperie en général ; ils semblent trouver un intérêt dans la Mariangiacomanie (qui ne les atteint pas mais contre laquelle ils ne s’opposent en rien), et ils se servent d’artifices et de failles administratives n’ayant pas prévu un tel cas, tout en méprisant les règles les plus élémentaires de bonne foi, de sincérité, et de déontologie, ce qui leur est facile puisque personne ne les y oblige, et que la communauté de l’autisme en France est globalement atteinte par la Foi Mariangiacomaniaque.

  • 21- Une communauté gravement atteinte par la Mariangiacomanie
    Dans la « communauté », à quelques exceptions près, les dénonciations et accusations très révoltées et exaspérées du fondateur de l’Alliance Autiste ne sont pas crues, notamment en raison de l’atmosphère générale de duperie, tromperie et duplicité magistralement illustrée par la Mariangiacomanie qui l’incite donc à la combattre.

  • 22- La mise à l’abri en fuyant un pays malade de la Mariangiacomanie (entre autres)
    Traîné dans la boue, lâché par ses « collègues » tous plus ou moins atteints par la Mariangiacomanie (en tant que victimes secondaires), ne trouvant aucun écho, aucune réponse, aucun intérêt nulle part pour ses cris de vérité dans ce pays dévasté par le tromperie et la lâcheté, il finit, en novembre 2015, excédé, étouffé, par s’enfuir « le plus loin possible » de ce pays mentalement malade.

  • 23- 2015-2017 : Maturation, mutation, sur-résistance et parfaite adaptabilité du pseudovirus ; la Mariangiacomanie atteint le sommet de l’Etat
    Entre novembre 2015 et novembre 2017, le pseudovirus s’est adapté : d’une part, il a su rendre beaucoup plus imperceptibles les problèmes relevés dans les dénonciations, ce qui lui a conféré un caractère  de « résistance » (un peu comme les moustiques ou maladies qui résistent de plus en plus aux insecticides et aux antibiotiques), et d’autre part le pseudovirus n’a plus rencontré aucun agent désinfectant, donc il a pu prospérer en toute discrétion et sans difficultés, jusqu’à atteindre « le summum », à partir de l’été 2017, notamment quand la victime primaire (M. G.), à l’Elysée, est allée jusqu’à laisser sa carte au Président de la République, et faire la bise à son épouse, Mme Macron. « The sky is the limit » !

  • 24- Le pseudovirus infecte maintenant les organes les plus sensibles et stratégiques de l’autisme en France, toujours pour assurer sa « crédibilité » donc sa sécurité et son invincibilité.
    En effet, la victime primaire M. G. a réussi également à « manoeuvrer », sans grande difficulté, pour se retrouver l’un des deux « autistes » du Comité de Pilotage du 4e Plan Autisme, ce qui est peut-être encore pire que d’être dans le Groupe de Pilotage de la Recommandation HAS-ANESM.

  • 25- « Passage obligé » : la télévision, idéal pour infecter à grande échelle, avec la « caution de la télé » (si c’est « à la télé », les gens ont tendance à y croire)
    Il évolue discrètement et habilement dans les « bons endroits », la Secrétaire d’Etat pour le Handicap et l’Exclusion lui présente une journaliste : un désistement de dernière minute, et hop, il se précipite pour être (enfin) dans une émission de télévision nationale, où la première chose qu’il fait est de monter très ostensiblement le slogan imprimé sur son T-shirt : « je suis autiste, et alors ? » : toujours la même technique : plus c’est gros, plus ça passe.

    (Plus la supercherie serait incroyablement énorme, plus les gens ne peuvent pas y croire : tout le vice est là…).
    C’est un peu comme avec « la Terre plate » : personne ne pouvait croire qu’elle était ronde, juste parce que c’était jugé « incroyable ». Même avec des preuves à l’appui.

  • 26- La technique de l’ascension mariangiacomaniaque par « petites marches d’escalier en douceur »
    La technique de l’ascension mariangiacomaniaque est simple, et ressemble à des « petites marches d’escalier de 1 cm de haut », avec des systèmes de « j’aime » et de recommandations, et des petits sourires pour se hisser tout en douceur d’une marche à l’autre ; exemples :

    • Il est président d’une asso d’autistes, donc la HAS l’accepte ;

    • Les membres du GP de la HAS tiquent, mais personne n’ose rien dire, et notamment la présidente d’Autisme France couvre, parce que ça l’arrange, donc « on fait comme si » ;

    • Il est « expert » dans le GP de la HAS, donc il est crédible pour être dans le 4e Plan ;

    • Il est dans toutes ces instances, donc la Secrétaire d’Etat croit au personnage (probablement) et à ce titre elle est atteinte par la Mariangiacomanie (en tant que victime secondaire) ;

    • Elle y croit donc elle le présente en toute innocence à une journaliste (dans le cadre de l’autisme) ;

    • La journaliste fait forcément confiance à la Secrétaire d’Etat ;

    • La production de l’émission fait confiance à la journaliste, sur ces bases ;

    • Le présentateur ne peut pas imaginer qu’on lui envoie un imposteur, donc il y croit, et M. G. le rassure en lui montrant son T-shirt…

    • Les téléspectateurs, s’ils ont des doutes, se disent que forcément quelqu’un a vérifié quelque part…

    • Ensuite, quand M. G. parle, il ne peut pas jouer le rôle qu’il joue seul devant sa caméra, et les internautes découvrent médusés qu’en fait il parle « tout à fait normalement », pas du tout comme dans ses vidéos…
      Mais c’est trop tard, il est arrivé à ce qu’il voulait, il s’en fiche pas mal, de ce que pensent des « pions » déjà utilisés, et il a réussi en quelques minutes à infecter des millions de gens :  le pesudovirus est donc très très renforcé, et c’était bien là le but.

27- « Vacuité Mariangiacomaniaque »
D’ailleurs, tous les observateurs suffisamment sérieux ont relevé depuis longtemps que ce que dit M. G. est quelconque et sans substance, ce qui est logique puisque c’est juste un outil pour servir son but principal : son image publique, cultiver et répandre la Foi Mariangiacomaniaque.

28- « Onanisme Mariangiacomaniaque »
Et tout ça pour quoi ? Mais uniquement pour lui, bien sûr ! Et c’est bien pour cela que ça le fait tellement jouir…
Et ce d’autant plus qu’il est le seul à le savoir (à part quelques « guéris » qui, s’ils résistent, sont vite et facilement décrédibilisés par les techniques maîtrisées par le pseudovirus, que rien ne peut affaiblir hormis peut-être des frappes directes et massives).

29- Nouvelle tentative d’éradication en recourant aux « grands moyens » avec le « MarianGate »
A partir de ce moment-là, arrive l’épisode du « MarianGate » (toujours en cours à l’heure où nous mettons sous WordPress).
Quelques victimes secondaires sont guéries par les révélations et les preuves, le pseudovirus faiblit, mais il ne meurt pas, car il a su cultiver en 3 ans toute une panoplie de protections.

30- Vers l’avènement du Mariangiacomonisme.
Ainsi, le MarianGate révèle la supercherie, mais en fait il révèle aussi une conséquence encore plus grave de la Mariangiacomanie, puisque même les victimes guéries, et même les personnes qui n’ont jamais été atteintes (comme les membres du GP HAS, et surtout la présidente d’Autisme France), ne veulent absolument rien faire contre cette maladie, et en arrivent à des extrêmités totalement absurdes et même « débiles », consistant à défendre coûte que coûte la Mariangiacomanie.

Cette nouvelle dimension du Trouble Mariangiacomaniaque, qui est de nature politique désormais, marquera l’histoire de l’autisme et du handicap « made in France », avec un niveau de pathétique et d’absurdité peut-être encore jamais atteint : c’est « l’exception française », autorisant tout et (de préférence) n’importe quoi, au plus grand mépris de la dignité des personnes vulnérables : bienvenue dans l’avènement du Mariangiacomonisme, la nouvelle idéologie à la mode, qui sera abordée dans un prochain article.

Eric LUCAS


N.B. : Ne pas confondre la Mariangiacomanie (la maladie) avec le Mariangiacomonisme (l’idéologie politique improbable et idiote qui en résulte).