En réalité, j’avoue que je n’arrive pas à me focaliser (suffisamment calmement) sur ce « dossier », tellement c’est révoltant.
J’en suis vraiment désolé, et j’espère faire mieux (ou moins mauvais) bientôt.
Si quelqu’un veut aider, ce ne sera pas de refus. Vous pouvez me contacter en privé ou par email.
Il est probable que mon article n’aidera pas beaucoup le pauvre Tim.
Mais en attendant, ça soulage. C’est déjà ça.
Ca fait plus de 4 ans maintenant que l’EFdM (Etat Français de Merde) nous fait souffrir avec cette histoire.
Quand on a tout essayé ou presque, face à un Etat-muraille obtus et mutique, une « dictature du socialement acceptable » dirigée dans l’ombre – pour leur seul intérêt – par les confréries et lobbies, il ne nous reste plus, à nous autres pauvres autistes et familles, que la possibilité de gueuler.
En 2018, on y a encore droit. Enfin, je l’espère.
Alors allez-y, les élites de la « bureaucrassie » : lisez, gargarisez-vous, offensez-vous, sévissez même – si vous pouvez ; faites-vous plaisir : les autistes sont là pour ça.
Je n’arrive même plus à vomir sur tout ça, tellement c’est… (j’ai pas les mots)…
Quant au lobby médico-socio-pharmaceutique, aux médesinges * publics et à toute cette cochonnerie… bref… je crois qu’on sait tous assez bien maintenant ce qu’il en est…
Et dire qu’il y a encore des gens qui y croient…
Et mille et une autres conneries « normales »…
C’est la société « normale »…
Et c’est à ça qu’on voudrait que les autistes s’adaptent ?… Sérieusement ?
Ben non merci… En tous cas, sans moi…
Au contraire, le peu d’effets du conditionnement social sur nous permet de mieux voir ce qui se passe… Et c’est vraiment pas beau à voir… Et c’est encore pire à sentir… Même à 9000 km de distance protectrice, ça sent encore…
Vous êtes tous de mêche… Ca va hein, autistes mais pas débiles…
Une fois qu’on a compris la combine de la méga-poule aux oeufs d’or de l’autisme, on comprend la « gestion de l’autisme en France »…
C’est encore pire.
Rejoignez les actions de la mère et du beau-père de Tim (cf. articles fb ci-dessous).
Mais maintenant, avec ce « dossier » (bien pire que mes propres martyres administratifs), parfois j’en viens à « souhaiter » (comme une sorte de voeu pieux, si j’ose dire) que l’enfer existe réellement, juste pour diminuer un tout petit peu l’oppression sur la poitrine, qui augmente à chaque minute quand je pense à cette histoire.
Pourquoi, comment ? Mais tout simplement en imaginant ces « juges » (et autres connards) « rôtir en enfer »… (Je sais bien que c’est un peu lamentable comme idée, mais à force de pousser les gens à bout…)
(C’est ça, condamnez-moi, pauvres misérables : qu’est-ce que j’en ai à foutre, franchement, après tout ce que ce que votre Inhumadministration m’a fait, ce serait presque rigolo…
Faites fermer ce site, et on en ouvrira deux copies ailleurs (etc.) tout en dénonçant la censure, bandes de taches : allez-y, activez votre « pouvoir » de minables gesticulants haineux… Je tremble de peur…)
« – Après que l’on ait expliqué à la présidente que finalement l’enfant n’a mordu personne mais qu’il s’est mordu sa main à lui, elle bafouille un petit peu et cherche ses mots pendant quelques secondes, pour finalement dire que l’enfant s’est « mis en danger » [ah, l’inévitable et sacro-sainte « mise en danger » …], ce à quoi tout le monde acquiesce, comme avec soulagement, puis elle continue en disant « mise en danger des autres ».
[ces gens parlent donc comme d’une réalité d’un danger inexistant -jusqu’à preuve du contraire (est-ce qu’on se met en danger en se mordant la main ??)]«
Même si c’est une hypothèse abstraite, invérifiable, c’est vraiment pas un problème pour eux : ils « arrangent la vérité » selon leur bon plaisir. C’est le jeu.
Car tout est là. C’est comme ça que ça marche, ils font la pluie et le beau temps.
Même la Présidence de la République (encore une autre farce de mauvais goût, merci bien les Macron, c’est gentil, revenez une autre fois – ou pas) semble avoir des lettres toutes prêtes pour expliquer qu’ils ne peuvent rien faire, à cause de la « séparation des pouvoirs »…
Mais alors, qui contrôle la « justice », quand elle fait n’importe quoi ?
Vraiment la bonne planque, hein ?…
Ah mais ils recourent à des psychiatres spécialistes ??…
Mais enfin, faut arrêter de se foutre de la gueule du monde, vous les avez vus, les soi-disant experts ?
En plus, ce sont les mêmes que ceux qui aiment nous enfermer (quand c’est pas pire…).
Tout ça n’est qu’une immonde fumisterie.
Et je ne suis même pas sûr qu’ils y croient entre eux…
Peut-être que oui, après tout, car ils sont tellement cons, obtus et abrutis (c’est dur à imaginer, mais quand on passe par là, on est bien obligé de se rendre à l’évidence – et bien sûr ces pauvres taches ne se doutent de rien : ça les tuerait instantanément, s’ils pouvaient voir à quel point ils nagent dans l’erreur, l’erreur-système).
Il est gentil lui, je l’aime bien. Il sert à rien (pour les autistes en tous cas), mais il est sympa.
Vraiment un Etat de merde.
Pauvres, pauvres nazes, aussi égoïstes, inflexibles et impitoyables, qu’ignorants (de l’autisme), débiles et abrutis. Ca donne presque une idée de l’infini…
Le Pays des Droits de l’Ho…. ho ho ho, ha ha ha ha ha…
Sales minables de juges de merde.
Merdocrassie abjecte.
Oui, des minables, des sous-larves. Vérolées.
https://www.youtube.com/watch?v=9fHhPiQbACU
Et en plus, il faudrait qu’on soit polis, vos Majestés ?
Souvent, même, vous ne l’avez jamais vu, pauvres juges infects et lâches.
Vraiment à chier contre. Et encore, on peut trouver mieux (par exemple, des WC…).
Comme ça, une fois que vous aurez fini de faire souffrir les autistes, et une fois que vous aurez fini votre pauvre petite vie minable de minuscules bureaumerdocrates moisis, peut-être que vous comprendrez enfin, et ce serait au moins une chose positive à votre crédit en matière d’autisme.
Laissez les autistes en paix. N’y avons nous pas droit, nous aussi ?
Vous vous prenez pour qui, à décider de la vie des gens, comme ça ?
On ne vous a rien demandé ; occupez-vous de votre télé et de vos conneries ordinaires, ne touchez pas à l’autisme : visiblement, ça vous dépasse.
Et ça semble incurable.
« Quand on sait pas, on touche pas »…
On ne vous a pas appris ça, dans votre « éducation normale », bandes de sales hyènes constipées ?
Laissez-nous tranquilles.
Notre liberté ne vous appartient pas.
Ni Tim ni les autres n’ont jamais demandé à être enfermés dans vos cloaques à fric, sales exploiteurs d’enfants handicapés, criminels.
Crétins minables, pire honte de la France, vils étrons putrides.
Tout se paiera, ordures pathétiques, fumiers * contaminés.
Oui parce qu’en plus, souvent, avec vos faces de rats affamés et vos rictus hargneux, vous êtes aussi affreux extérieurement qu’intérieurement.
Pas des trucs à montrer aux gosses, c’est sûr…
Allez, pfff, vive la France…
Il va de soi que l’usage du mot « fumier » est « impropre », puisque le véritable fumier – engrais naturel, et comparativement noble – ne ruine pas la vie des gens, et au contraire sert à enrichir les cultures.
A cet égard, le fait de qualifier de « merdes » les créatures administratives ici incriminées relèverait presque de la flatterie exagérée. Pardon pour cet excès, sombres taches, ersatz de pas grand chose…)
Autiste Asperger, rescapé de la psychiatrie française, martyr administratif français assez chanceux pour avoir pu fuir le pays de la Sous-France, demandeur d’asile au Brésil.
(C’est ça, faites des « pressions » sur le Brésil, pour continuer à me faire souffrir, ramassis de sales cafards cancéreux et puants, pfff…
Ca vous aidera avec votre problème de soif maladive de puissance : on est là pour ça, pas vrai ?…)
https://www.facebook.com/autistediscrimination/posts/2451719988179420
https://www.facebook.com/autistediscrimination/posts/2478717472146338
Droit des autistes à s’exprimer devant la justice ? soyons concrets :
La tutrice de Timothée devant la cour d’appel des Tutelles : «je suis allée le voir, je lui ai posé des questions, il ne m’a pas répondu. »
Le Président du Tribunal, pas curieux, s’abstient de demander quelles questions et surtout dans quelles conditions ces questions ont été posées. Il ne demande pas si Timothée est réellement incapable de s’exprimer, il ne suggère pas qu’il pourrait y avoir un dispositif adapté pour l’entendre. Encore moins qu’on DOIT l’entendre, coûte que coûte, selon la Convention internationale pour les droits des handicapés, qui s’impose en droit français.
S’il avait été genre « racaille », Timothée, il aurait peut-être réagi, face à la tutrice, en la toisant du regard (il est grand), et en lui disant: « t’es qui, toi, d’où tu me parles, là ? Tu veux quoi ? Tu fais quoi ici ? Casse toi… ». Mais il est pas de ce genre, je crois même qu’il lui a plutôt tourné le dos.
Normal, elle est venu le voir deux fois en un an, une fois à l’IME pour l’observer, comme un insecte, en somme ; et l’autre fois chez son père, vite fait, pour lui poser des questions, on sait pas lesquelles. Elle est professionnelle, surtout pas d’affect au travail, voyons.
C’est tout.
Facebook, un peu de vérité, puis un peu d’action :
J’ai publié mes lettres ouvertes, vous avez été assez nombreux à réagir, liker, partager, parfois commenter. Merci à tous, mais vous savez, après ça, on se sent toujours aussi isolés. Les bons sentiments, c’est pas l’action. La solidarité, si elle est pas en action, ça soigne surtout ceux qui l’expriment. Mais la cause, elle n’avance pas. Le droit pour les autistes de s’exprimer, et surtout d’être entendus, de ne pas être enfermés, il faut se battre pour. Je sais, nombre de familles souhaitent au contraire plus de places en institution. Chacun son combat, en somme, et le pouvoir s’en frotte les mains. Ça fait match nul.
Quant aux associations, dont certains de vous font partie, elles ont leurs objectifs propres, leurs priorités, etc. Les médias, la presse, idem.
D’aucuns disent que le gouvernement, c’est que de la com. Mais Facebook aussi.
Alors une proposition : vous achetez cinq timbres, cinq enveloppes, vous imprimez mes lettres ouvertes, et vous les adressez au destinataires auxquels je l’ai fait moi-même. N’oubliez pas, au dos de l’enveloppe, de mettre votre nom et votre adresse: pas d’anonymat; vous pouvez rajouter, sur l’enveloppe : « AFFAIRE TIMOTHÉE ».
C’est une cause plus large que celle de Timothée. Chaque individu est concerné lorsqu’il s’agit d’atteinte aux droits, même s’il n’est pas touché directement. Vous pouvez aussi transmettre cet appel, y compris à vos proches, au quotidien, pas seulement par réseaux sociaux.
Merci à ceux et celles qui le feront. Et ne remettez pas au lendemain, vous allez oublier!
Dernière chose : si vous avez idée d’autres actions, vous m’en faites part par message privé. J’étudie toute proposition.
(Retour à l’article)
Note pour le lecteur ou la lectrice non habitué(e) à « l’autisme à la française », qui croirait que j’exagère à propos de la duplicité de l’Etat : lisez mes deux « tentatives d’analyse » suivantes, et vous comprendrez mieux…
Extraits (concernant Timothée – questions du Comité des Droits de l’Enfant ONU à l’Etat français).
(Voir – dans un nouvel onglet – notre article de janvier 2016, permettant de comprendre si vous n’avez pas suivi.)
(Je note qu’à l’époque – il y a 3 ans – j’avais précisé que mon texte était écrit en mode « irrité », alors que je le trouve maintenant phénoménalement calme et poli, par rapport au niveau d’insupportabilité auquel m’ont amené les « coups de pute » ultérieurs de ces sous-merdes gouvernementales. J’ai certainement dû déplaire aux Majestés du haut-fonctionnariat français, comme Maryna (la mère de Tim). Sales enflures.)
Point 9
“Veuillez indiquer si l’Etat partie s’est engagé dans une politique de désinstitutionnalisation et,
dans l’affirmative,” à quelle échéance.”
“Veuillez également indiquer la suite donnée aux préoccupations exprimées par la Rapporteuse spéciale sur les droits des personnes handicapées concernant l’institutionnalisation
de Timothée D. et les mesures prises pour prévenir cette institutionnalisation. “
“Veuillez également commenter l’information selon laquelle de nombreux autres parents se
seraient vus retirer la garde de leur enfant pour avoir exigé leur inclusion scolaire et refuser des
traitements inadaptés en institution.”
A propos de la réponse du gouvernement à la question 9 :
Le Comité demande si la France s’est “engagée dans une politique de désinstitutionnalisation” :
trois mots importants et précis. La France ne répond absolument pas de manière positive, pour la
bonne raison qu’il n’y a ni engagement ni politique ou programme ni souhait véritable de
désinstitutionnalisation.
Le Comité demande “dans l’affirmative, à quelle échéance” : il n’y a pas de réponse, pas
d’échéance parce que pas de projet à ce sujet.
Le rédacteur aurait pu citer les quelques “mesurettes” annoncées par le président de la
république fin 2014 (au CNH), et se rapportant vaguement à un semblant de promesse de
désinstitutionnalisation, mais apparemment c’est déjà oublié.
A la place, on nous parle encore de “principes” bla bla bla.
Qui soi-disant éviteraient les placements en institution et favoriseraient le “placement à domicile”
(encore des termes qui en disent long sur l’état d’esprit de l’Etat…)… sauf que ces “principes”,
dans un cas comme celui de Timothée (parmi tant d’autres similaires), aboutissent à la mise en
IME puis en HP d’un enfant qui était bien tranquille et calme chez lui à la campagne, autonome,
sans problème : qu’on ne vienne pas nous dire qu’il est “impossible” de le laisser vivre hors d’une
“institution” alors qu’il avait toujours vécu en dehors de ça, depuis 16 ans !
Ensuite, le Comité demande de répondre au problème de l’institutionnalisation de Timothée, et là
on nous renvoie à une réponse que la France a déjà faite, le 27 mars 2015. Cette lettre de 18
pages est complexe et nécessite une étude approfondie, qui sera faite plus tard.
Néanmoins, le procédé est toujours le même : l’administration commence par établir des
documents exagérant la réalité dans le sens qu’elle souhaite, puis d’étape en étape, de directeurs
en juges, la description des faits reprochés est toujours légèrement exagérée (l’important étant
que ça ne soit pas trop flagrant) ce qui permet au bout d’un an de faire dire ce qu’on veut à un
dossier.
Par exemple j’ai assisté à une audience tu tribunal du contentieux de l’incapacité de Villeurbanne,
pour l’affaire Timothée, et parmi les nombreuses injustices et exagérations j’ai été frappé par le
fait que la présidente considère que quand Timothée s’est mordu la main, il a “mis sa sécurité en
danger”…
De même, l’ex-directeur de l’Education Nationale du Rhône, M. Baglan, a déclaré sur RTL que
“l’enfant a porté des coups” sur son AVS (alors qu’il l’a enserrée sans aucun coup ni violence), ou
encore un autre tribunal écrit que puisque l’enfant est dans sa maison de campagne et loin de son
père, ça le perturbe et donc il est “en danger” ! (si si, c’est écrit).. Par contre, le mettre en IME ou
en HP, non ça ne le perturbe pas, bien sûr…
Des exemples de “glissements par approximations” comme ça on en a des dizaines pour
TImothée, et il est vraisemblable que c’est la même chose pour les autres dossiers.
Evidemment, ensuite, avec des documents savamment fignolés pour être “adaptés” à la ligne
officielle sur tel ou tel cas, le gouvernement a beau jeu de dire “nous avons respecté la
convention”. Les documents, peut-être, mais les documents, si on les analyse sérieusement,
reposent sur un tissu de choses fabriquées, de réalité sur mesure, artificielle, administrative.
Dans tous les cas, pour tous les jugement concernants Timothée (et les autres enfants autistes) je
soutiens que s’il n’y a pas de consultation d’un médecin ou expert SPECIALISTE de l’autisme et
dûment approuvé par la communauté, alors ce jugement n’est pas suffisamment étayé et
comporte un risque important d’erreur. Tout simplement parce que l’autisme, les comportements
et besoins d”un autiste, sont difficiles à comprendre, et que ni un juge ni même un psychiatre non
spécialisé ne peuvent comprendre. Il peuvent juste “croire avoir compris”, et c’est ça le pire.
Le problème c’est que de tels experts sont très rares.
En plus de cela, dans le cas de Timothée, lui n’avait pas besoin de toutes ces histoires, qui
proviennent uniquement de problèmes d’adultes (parents et administration). Il a été sacrifié pour
rien, comme beaucoup d’enfants, victimes des lubies des adultes, qui les considèrent comme des
objets (comme ils le font avec les animaux, par ailleurs).
On notera que le Comité a pris la peine de ne mentionner que l’initiale du nom de famille de
Timothée (comme il a toujours été fait par tous dans les documents publics) mais que la réponse
mentionne clairement le patronyme en toutes lettres… : encore un signe (s’il en fallait) de la
manière dont tout cela est traité par le gouvernement (mépris, amalgames).
D’ailleurs, à part une vague mention de “Rédacteur : Rodolphe Féral”, on ne sait même pas par qui
est faite cette réponse (auteur / auteurs)… Certainement pas par un comité d’experts, et de plus
les auteurs restent anonymes, on nous parle juste d’un “rédacteur”, pour mettre au moins une
personne…
A moins que tout ne soit fait que par cette unique personne (donc un obscur rédacteur-auteur qui
porte la parole de la France auprès de l’ONU…), qui, peu familière avec le sujet, n’aurait eu
d’autre choix que de compiler et resservir les textes et réponses toutes prêtes existantes, au lieu
de s’investir réellement et honnêtement dans les problématiques, comme l’ont fait les experts du
Comité ?…
Est-ce que le sujet des enfants et des enfants handicapés ne mérite pas un peu plus d’efforts et de
considération de la part de ces fonctionnaires ? (Pardon de déranger…)
La dernière phrase de la question 9 résume admirablement bien le cas Timothée et montre que le
Comité a bien compris que la décision d’institutionnalisation s’apparentait à une sorte de mesure
de “rétorsion” en cas “d’insoumission” des parents (le mot “insoumission” est utilisé dans un
jugement, à l’égard de la mère de Timothée). Quoi de plus naturel et légitime pour une mère que
de tout faire pour éviter à son enfant toutes ces injustices et maltraitances ?
Merci beaucoup à Magali PIGNARD pour avoir très notablement et efficacement contribué à porter le cas de Timothée devant l’ONU.
Sales minables, Etat français de merde.
A ce niveau, il n’y a plus de politesse ni quoi que ce soit.
C’est simplement… de la merde.