#MarianGate #Mariangiacomanie #Mariangiacomonisme – Etude de la Mariangiacomanie (suite) – Approche du Mariangiacomonisme

N.B. : ne pas confondre :

  • La Mariangiacomanie (affection psychiatrique), aussi appelée « Trouble Mariangiacomaniaque » (apparue en 2014)

et

  • le Mariangiacomonisme, idéologie politique découlant de la Mariangiacomanie (apparue entre 2015 et 2017, mais rendue visible publiquement en décembre 2017, durant les débuts de l’opération « MarianGate »)

Pour rappel, il suffit de consulter les deux vidéos suivantes, pour comprendre très facilement pourquoi MG (MG) n’a rien à faire « dans l’autisme », et comment les choses sont menées « derrière l’écran des apparences », au mépris des autistes :


Etude de la Mariangiacomanie (suite)

Rappels de ce que nous avons vu dans un précédent article intitulé « Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la Mariangiacomanie », et considérations supplémentaires :

  • Cette affection est une sorte de mythomanie mégalomaniaque, affectant principalement une victime primaire (ici, MG).
  • Cette affection, provoquée par une sorte de pseudovirus « mental », venant occuper un vide identitaire, entraîne la victime primaire à fabriquer artificiellement une image « angélique » lui permettant de cacher des vices dérangeants (manipulation et fourberie, notamment).
  •  Compte-tenu de la fragilité de cette « construction mentale » (évidemment fallacieuse), la victime primaire est constamment obligée d’entretenir l’illusion, pour la faire paraître vraie, notamment par deux moyens :
    • la Foi Mariangiacomaniaque, reposant sur le nombre de personnes qui croient à la supercherie (plus il y a de gens qui y croient, plus les gens se disent que c’est probablement vrai, que ce serait « trop énorme » si ce n’était pas vrai, etc.) ; cette foi est cultivée très habilement par MG, véritablement expert pour toutes ces choses, qui est déjà, à la base, un informaticien rompu aux techniques d’optimisation de sites Internet pour moteurs de recherche, et qui, en plus, il a fait deux ans d’études de psychologie : venir faire croire ce qu’il veut aux autistes est un jeu d’enfants pour lui (et d’ailleurs cela se sent dans ses propos « 90% des autistes sont des glumeux ») ;
    • la crédibilité institutionnelle / politique / médiatique mariangiacomaniaque, qui est recherchée à tout prix par MG, et obtenue, petites étapes par petites étapes, notamment en accédant à des places significatives dans divers comités de pilotage (HAS, Plan Autisme…), et même maintenant des passages à la télévision nationale.
  • Cette construction mentale personnelle nécessite « d’infecter par des pseudovirus miroirs » un maximum de gens, qui croient en toute innocence et bonne foi à l’image habilement ciselée et présentée, et qui sont donc, à ce titre, des « victimes secondaires ».
  • Il n’y a évidemment pas d’autre finalité, dans cette affection psychiatrique, que de se sentir « quelqu’un de bien et d’important, afin de masquer à soi-même et aux autres la vacuité d’une existence banale et reposant grandement sur la tromperie permanente(et dépourvue de toute originalité ou qualité autistique), tout cela pour la propre jouissance mentale personnelle de la seule victime primaire.
  • Comme déjà dit, ce « système » est très fragile puisqu’il repose sur une « réalité virtuelle » ne correspondant pas à la vérité, une illusion, une sorte de « bulle » qui pourrait éclater un jour, ce dont la victime primaire est plus ou moins consciente ; c’est donc pour celà qu’elle oeuvre en permanence pour renforcer et amplifier cette bulle au maximum, de manière à ce que « sa » vérité devienne « la vérité », par le moyen d’une sorte d’envahissement médiatique et de « lavage de cerveau » à grande échelle.
    Ce qui constitue un cercle vicieux puisque plus grande est la bulle, plus la « chute », ou l’éclatement, serait douloureux pour MG.
    Il n’a donc pas d’autre « solution » qu’une sorte de « fuite en avant », toujours plus fort, toujours plus haut.
    Et ça fonctionne, car au bout de 3 ans l’illusion est bien ancrée dans les esprits :  les gens se disent que si la position de MG est « si importante » et depuis si longtemps, c’est que forcément ça doit être vrai, même si ça ne se voit pas. Et comme en plus on est « dans l’autisme », ou souvent les choses paraissent assez « énigamtiques », ça passe.
  • Evidemment, tous ces stratagèmes et agissements ne sont absolument pas représentatifs de l’autisme (ils sont même « le contraire ») ; le domaine de l’autisme a probablement été « choisi » peu à peu de manière « logique » puisque c’est ici qu’un tel grand manipulateur peut oeuvrer le plus facilement, sans résistance, tout en se donnant l’image « angélique » inverse de ce qu’il est vraiment.
  • Et bien sûr, tous les gens avec lesquels MG entretient des relations ne sont que des outils dans son « système » ; il les utilise de la même manière qu’il utilise les mots, les pages Internet, les vidéos, etc.
  • Rien d’autre ne compte pour lui, que ce qui peut lui servir pour sa propre « satisfaction existentielle » : l’image qu’il construit et qu’il montre, et qui est le contraire de sa nature profonde, ce qui est parfaitement logique puis que cette « construction » a pour but de « corriger, par le truchement des apparences seulement, cette nature fondamentale banale et fourbe, ce qui semble impossible ou très difficile à changer en profondeur.
  • Puisque le système de « relations sociales » s’intéresse d’abord (et presque uniquement) aux apparences, et que les gens n’ont pas le temps, pas l’envie ou pas le courage de chercher plus loin, et puisque « ça convient » à tout le monde, alors le système MG fonctionne, et ne dérange que les gens qui sont profondément attachés à la vérité et qui rejettent les artifices trompeurs, et notamment les autistes authentiques.
  • Le système MG fonctionne d’autant plus facilement qu’il utilise des artifices que ne peuvent pas ou ne veulent pas utiliser les autistes, ce qui lui permet de les « surpasser » aisément aux yeux du système non-autistique, lui-même totalement complaisant avec la manipulation de la vérité.
    C’est ainsi qu’il se retrouve, sans grande difficulté ni opposition, à « truster » (ou « squatter ») des « places vides » notamment dans le représentation officielle des autistes.
    Ces « places » sont en effet inaccessibles à la plupart des autistes, puisque, à cause de ce que je nomme « l’absence de prise en compte correcte de l’autisme par le système social », il reste nécessaire de maîtriser les « relations sociales » pour y parvenir (autrement dit, de ne pas avoir un comportement autistique), ce qui est évidemment un défaut du système, exploité très habilement par MG (toujours très gentil, poli, adapté etc.).
    C’est comme si dans un système esclavagiste du passé les blancs daignaient inviter 2 ou 3 esclaves noirs pour faire croire à une sorte de bienveillance et pour recueillir hautainement leurs doléances, mais il faudrait absolument que les esclaves maîtrisent parfaitement la langue de leurs maîtres, sachent se tenir impeccablement à table, et puis, si les représentants noirs pouvaient être « albinos » (avec la peau blanche), ce serait mieux, et surtout il ne faut pas trop se plaindre, il ne faut pas déranger les « gens importants »…
  • En somme, tout est virtuel, et il s’amuse avec les autistes, le public, le gouvernement, tout ça est uniquement pour lui ; il n’a aucune notion d’altruisme ou d’aide pour une cause ou pour d’autres que lui, et c’est précisément pour cela que ça pose un énorme problème, quand on voit qu’il utilise des « positions » (associations, groupes de travail gouvernementaux…) ayant pour vocation d’aider d’autres que soi-même, ce qui est totalement vicieux, pervers, injuste, incohérent, inacceptable, et méprisant pour les autistes (surtout quand on sait qu’il considère que 90% des autistes sont des arriérés ou débiles mentaux).
  • C’est pourtant clair et simple à comprendre…

Approche du Mariangiacomonisme

Le Mariangiacomonisme peut être considéré comme une sorte « d’idéologie politique », et ceci de manière évidemment exagérée, par dérision, pour mieux faire ressentir à ses défenseurs l’absurdité et le ridicule de leurs positions.

Le Mariangiacomonisme apparaît après environ deux ou trois semaines des révélations quasi-quotidiennes du « MarianGate ».
Ces révélations, commencées fin novembre 2017 auraient dû, en toute logique, faire s’effondrer totalement le mythe né du Trouble Mariangiacomaniaque, mais pourtant, même au bout d’un mois, non seulement il n’a que peu faibli, mais en plus les réactions de « refus d’en parler », d’immobilisme, de mauvaise foi et même d’obstination plus ou moins hargneuse contre les lanceurs d’alerte (notamment contre moi-même et AutiLeaks), ont mis en lumière une dimension ou une conséquence inattendue (pour moi) de ce trouble.

C’est ce que j’appelle le « Mariangiacomonisme », qui est en quelque sorte l’idée selon laquelle, même si on connaît le caractère vicié et trompeur de la Mariangiacomanie, il ne faut pas s’y opposer (donc, ne pas en parler), notamment pour des motifs de nature « politique » (dans le domaine de l’autisme en France), et pour des considérations « pragmatiques », le tout au plus grand mépris de l’authenticité de l’autisme et du droit à l’authenticité des autistes, au premier chef en ce qui concerne leur représentant national, évidemment, ce qui est toujours soigneusement éludé par les tenants de cette thèse.

Aujourd’hui, le 27 décembre 2017, étant dépourvu de boule de cristal, je ne sais pas comment vont évoluer les choses, mais tout laisse penser que « le système » et « la clique » (mariangiacomoniste / daniéliste) vont « tout faire pour ne rien faire », c’est à dire vont continuer à « ignorer activement » les révélations du MarianGate, dans l’espoir que je finisse par m’épuiser, et que plus personne ne veuille entendre parler de tout ça, ce qui est déjà plus ou moins le cas, ce qui permettrait à la tromperie de continuer tranquillement.
J’ai bien prévenu que je continuerai à me battre toute ma vie contre cette infamie, mais évidemment cela n’engendre aucune réaction, puisque quasiment personne n’est intéressé par la vérité ou par l’idée de « l’authenticité des autistes et pour les autistes ».

Les « combats contre des moulins à vent » reprendront donc en janvier 2018, et on verra bien ce qu’il adviendra du Mariangiacomonisme.
Je fais tout ce que je peux pour lutter contre ce problème, et les autres, rien (à part quelques exceptions, comme AutiLeaks).

Etant donné que je manque un peu de recul pour bien analyser ce nouveau phénomène, je vais pour l’instant me limiter à coucher ci-dessous quelques éléments, un peu « en vrac » et en résumé.

  • Incompatibilité avec la Mariangiacomanie :
    Le Mariangiacomonisme ne peut être mis en oeuvre que par les personnes exemptes du Trouble Mariangiacomaniaque (Mariangiacomanie), c’est à dire les personnes qui n’ont jamais cru au mythe (comme Danièle Langloys), ou les personnes qui en ont été guéries (comme certaines activistes autistes).
    En effet, l’idéologie mariangiacomaniste est notablement caractérisée par le fait que ses tenants ne sont pas dupes, mais qu’il font semblant de ne pas voir, ou qu’ils essayent de minimiser ou de faire oublier le Trouble Mariangiacomaniaque, bien qu’ils aient connaissance de son caractère vicieux, tordu et trompeur.
  • Cadre :
    • Recommandation HAS-ANESM autistes adultes
    • 4ème Plan Autisme
    • Représentation et « défense » publique des autistes et de l’autisme en France en général
  • Motifs avancés pour défendre le Mariangiacomonisme :
    • Prétendu pragmatisme  (« Il dit ce qu’il faut dire » (ce qui est très discutable), donc « ça ne dérange personne »)
    • Prétendue « absence de problèmes avec MG » (évidemment, quand on ne veut pas voir les problèmes, ou qu’on ne peut pas, parce qu’on les connaît trop bien…)
  • Causes du Mariangiacomonisme :
    • Incontournable « principe » paternaliste et quasiment « colonialiste » (« dans l’intérêt du patient », « pour la sécurité », « pour protéger » etc.) consistant, pour les non-autistes, à décider de ce qui est bon pour les autistes, sans faire le moindre effort pour tenter de connaître leur avis ou pour tenter d’évaluer honnêtement si ça leur est réellement bénéfique, et sans réelle volonté d’autonomie pour les autistes (perçue comme susceptible de réduire le « confort » non-autistique)
    • Lâcheté et Impossibilité de reconnaître ses erreurs dans l’acceptation de MG, de reconnaître avoir été dupé(e)s, de reconnaître n’avoir pas fait les efforts nécessaires quand c’était encore possible (de la part de tous les « acteurs » sauf des autistes)
    • « Autruchisme », « Tartuffisme », « politiquement correct », « socialement correct » et hypocrisie ayant quasiment valeur de vertus dans le système de pensée non-autistique français (avec l’omerta qui en découle fatalement)
    • « Pétrification autistique face à la putréfaction », fatigue, fuite salvatrice autistique automatique devant un problème aussi grave, obligation de ne pas y penser, pour garder un peu de sérénité (de la part des acteurs associatifs autistes, surtout féminines)
    • Dictature du Daniélisme : quand on est autiste (ou pas), et qu’on essaie de faire quelque chose de sérieux (par exemple une association) pour aider les autistes en France, on se retrouve tôt ou tard confronté à cette dictature, on apprend (parfois à ses dépens, comme moi) que si on ne prête pas allégeance (d’une manière ou d’une autre, même implicitement), alors on se retrouve rapidement « bloqué » et, pour le moins, « pas du tout aidé » dans ce qu’on essaie de faire.
      Tous les acteurs associatifs (ou pas) autistes qui tentent de faire quelque chose finissent par s’en rendre compte ou par le ressentir, et n’ont pas d’autres choix que d’éviter de contrarier « la mère de tous les autistes » (Danièle Langloys), dont la longévité de « l’incontournableté » (plus de 25 ans) suffirait à elle seule à confirmer ce phénomène.
      Par conséquent, les autistes « activistes », pris en étau entre d’un côté cette dictature implacable, et d’un autre le spectre peut-être encore pire de la « prise de tête mariangiacomaniaque », peuvent difficilement faire autrement que de « considérer » la Mariangiacomonie comme un « non-problème » (ce qui les force par ailleurs à piétiner eux-mêmes (ou plutôt elles-mêmes) leur (supposé) besoin de sincérité et d’authenticité), ce qui est une ignominie de plus imposée aux autistes
    • La « Dictature du Qu’En-Dira-t-On » : « Si je m’oppose à MG, je serai la seule, donc je serai perçue comme ayant tort, ou, pire, je serai perçue comme ce « fou furieux », « haineux », Eric Lucas… (et en plus, j’ai pas envie de finir comme lui, traînée dans la boue, exilée etc., donc… ben je ne dis rien, je ne sais rien, tout va bien… » (un peu comme quand on est « obligé » de répondre « ça va, et vous ? » à la question « ça va ? » même si on a le moral à moins 8000…)
      Ce qui est évidemment un cercle vicieux particulièrement absurde, que je m’efforce de briser, ce qui est quasiment impossible seul.
    • Principe administratif français (non écrit) selon lequel l’Administration est « réputée infaillible », donc une fois qu’une mauvaise décision a été « entérinée » (pour ne pas dire « sanctifiée »), elle devient, pour l’Administration, forcément juste et vertueuse, même si tout le monde sait que c’est n’importe quoi
    • Incapacité de corriger une erreur « profondément gravée » dans la Recommandation HAS-ANESM, car pour cela il faudrait tout recommencer, ce que les responsables ne feront jamais sauf si on les y force, puisqu’ils n’ont ni courage ni honnêteté, et puisque cela mettrait en lumière leurs fautes (ils n’ont donc pas d’autre choix que l’immoblisme et le mutisme, en « espérant l’apaisement » (ce qui est un des principes administratifs français, parfois appelé « incantations »), un peu dans le même esprit que « le Père Noël » (facteur de conditionnement non-autistique français)
    • Illusion de supériorité et arrogance typiquement françaises (on découvre à avec horreur, et honte, quand on commence à vivre hors de France), dont notamment ce que je nomme le « Syndrome de Dieu-Le-Père Médical Français » (SDLPMF), prépondérant ici puisque les médecins sont majoritaires et les plus puissantes en ce qui concerne les décisions prises pour les autistes et souvent en leur nom (et à ce titre, MG le « rééducateur » joue le rôle du parfait valet, juste pour se repaître de quelques miettes de « pouvoir » et de « gloire » qui le font glousser intérieurement de plaisir tout en frétillant de la queue…)
  • Problèmes et risques principaux résultant du Mariangiacomonisme :
    • Mépris et tromperie des autistes authentiques (notamment quand ils sont « défendus » et représentés par une personne qui les prend pour des arriérés et des débiles mentaux)
    • Mépris et tromperie de l’authenticité autistique (pureté, vérité, cohérence, harmonie, droiture, etc.)
    • Mépris et tromperie du public
    • Mépris et tromperie des principes les plus élémentaires de bon sens, sincérité etc. nécessaires à toute action en faveur d’autrui
    • Confirmation officielle de la supercherie, ce qui donne donc une sorte d’autorisation implicite à MG pour aller toujours en encore plus loin et donc pour tromper encore plus ouvertement, fortement et impunément le peuple (ce qu’il fait maintenant à la télévision, grâce au soutien tacite de tout le système, la clique daniéliste etc.)
    • Risque de nouvelles victimes (notamment féminines) encore plus facilement dupées par la Mariangiacomanie « officialisée et approuvée par le Mariangiacomonisme ».
      Ces victimes vont d’abord devenir asservies à la dictature mentale envahissante de MG (frappant toute personne exposée directement au pseudovirus Mariangiacomanis virus dans le cadre de relations de couple ou de travail), pour ensuite être entraînées dans des « troubles psychologiques » résultant directement de cette emprise malsaine et fallacieuse, qui peuvent les mener au bord de « la folie » ou du suicide.
    • Risques importants de menées et de politiques contraires aux intérêts des autistes, notamment à cause des ambitions « thérapistes » et « rééducationnistes », à vomir, de MG, envahisseur incontournable et Grande Plaie Nationale de l’Autisme (comme si nous n’avions pas déjà assez de problèmes et de sangsues de toutes sortes !) – Tout cela est infect quand c’est couvert par les autorités, les associations (y-compris d’autistes) suivant docilement le Mariangiacomonisme couvert d’abord par le Daniélisme et sa clique, qui approuve ou bloque toute tentative de représentation des autistes
  • Principaux arguments des anti-mariangiacomonisme :
    • Cohérence dans l’action : les anti-mariangiacomonisme partent du principe que si personne n’arrive à empêcher les menées d’un « simple clown » (car MG est souvent présenté comme « personne sans envergure et sans importance » par les MGistes), alors, en toute logique il est illusoire de croire pouvoir se défendre contre des choses beaucoup plus sérieuses (notamment les lobbies médico-sociaux, et la collusion/complaisance/passivité gouvernementale et judiciaire qui va avec).
      Il faut donc commencer à balayer devant sa porte (puisque MG est présenté comme autiste), et de plus il faut être cohérents : on ne peut prétendre vouloir aider et défendre les autistes, leur autonomie et leur liberté, si on ne dit rien lorsqu’un tel personnage traite les autistes de « glumeux ».
    • Cohérence dans les convictions :  les anti-mariangiacomonisme pensent que parmi les principales caractéristiques de l’autisme figurent l’authenticité, la cohérence, la droiture, la « candeur » (ou spontanéité) ; or ces MG incarne (et applique !) exactement l’inverse de ces principes : par conséquent il est totalement absurde, indigne, et même insultant, d’accepter que les autistes soient représentés et « défendus » par un personnage représentant en fait tout le contraire de leur nature.
      C’est une offense inacceptable et « indiscutable », non-négociable.
      C’est totalement idiot de choisir « le moins autiste des autistes » (étant, de plus, un maître en stratagèmes et « habiletés » sociales (non-autistiques, donc), pour représenter les autistes.
      Il n’y a rien de plus absurde, délirant, et même « martyrisant » pour l’autisme.
  • Conséquences secondaires
    • Révolte et actions diverses de certains autistes « authentistes », susceptibles, par exemple, de mener à l’invalidation de la Recommandation HAS-ANESM
    • Autres choses et dommages collatéraux difficilement prévisibles, engendrés fatalement par le mal, surtout quand celui-ci est couvert et encouragés par ceux qui sont tenus de faire le bien
  • Conséquences secondaires particulièrement notables pour les autorités publiques
    • Le Mariangiacomonisme, par son obstination dans le déni, la mauvaise foi et la lâcheté, peut amener à mettre en lumière certaines « failles », comme par exemple dans les « règles méthodologiques » de la HAS, permettant à n’importe quel intrigant de venir s’inflitrer.
    • Et surtout, le Mariangiacomonisme, s’il perdure (ce qui est probable), permettra de mieux montrer au public d’autres « mascarades » méprisantes : à ce titre, il n’est qu’un révélateur (le plus visible et le plus « pathétique ») de bien d’autres choses encore plus graves.
    • De ce fait, même si le Mariangiacomonisme finissait par être vaincu un jour, ceux et celles qui ont compris les mécanismes ainsi dévoilés devraient continuer à « tirer les vers du nez » de toutes ces fumisteries perpétrées « pour le bien des autistes », sans se soucier ni de leur avis ni même de comprendre les autistes authenttiques ou de les écouter.
      A ce titre, on peut dire que le Mariangiacomonisme, c’est l’infamie de trop, la faute de trop, commise par des traîtres qui le regretteront un jour ou l’autre.

Note : J’ai réécrit les points ci-dessus après qu’un bête problème Internet ait tout effacé (grrrrrr), et donc j’ai peut-être oublié des choses importantes, voire très importantes.
Et bien sûr il y a peut-être des erreurs ou imprécisions.
(N’étant ni « administrativiste » ni mariangiacomoniste, j’ai le droit à l’erreur…)
Donc, dans le cas où une personne courageuse parviendrait à lire cet article jusqu’ici, c’est vous, et vous pouvez ne pas hésiter à me faire part de vos remarques, critiques, questions, par email à contact@allianceautiste.org, afin que je tente d’améliorer toutes ces réflexions dans de futurs articles.
Merci.

Eric LUCAS